De longues soirées étalées sur de longs mois furent nécessaires à cette préparation. Car, notamment 256 adresses manuscrites à écrire, cela prend du temps. Sans compter les timbres à lécher… Et il fallait se dépêcher, car je tenais absolument à ce que le seizième envoi soient reçus par les éditeurs le 14 février : 14 comme le nom de la dernière ligne, 14 février comme le jour sur lequel se déroule le récit, et 14 février 2013 comme le jour tant redouté.
Le timing se devait d’être parfait.