Making of a post

Y’a des fois – comme maintenant – où je n’ai pas envie d’écrire.

Ca peut paraître paradoxal, mais je vous assure que je n’ai pas du tout envie d’écrire au moment même où je vous écris. J’ai Anaïs dans les oreilles qui fait « Dou dou dou dou dou », une bonne odeur de femme noire à mes côtés – j’adore l’odeur de la peau noire. J’ai juste un peu peur que l’homme noir qui a remplacé la femme à mes côtés depuis l’écriture de ces mots ne lira pas ces lignes par-dessus mes épaules. Car je suis dans le bus et il n’y a rien de raciste à dire que j’aime l’odeur des Blacks.
Amel Bent a remplacé Anaïs dans mes oreilles. J’ai vraiment de tout dans mon iPod. Et là, j’ai déjà plus envie d’écrire qu’au début de ce texte. Et même si je n’ai toujours rien à dire, j’ai au moins trouvé comment se terminera ce billet : à l’improviste. Car lorsque je serai arrivé chez Clo et Coloca, je devrai descendre précipitamment de l’autobus et, de la sorte, abandonner tout aussi promptement l’écriture de ce court texte. Alors, en attendant, je brode et espère ne pas trop vous ennuyer. C’est un peu l’envers du décor, le premier making of de post. L’écriture dans les bus, les métros, tout ça, avec bientôt le bêtisier : « Il a fait une faute d’othographe !! Mouhahaha hihihi ! ».
Passons.

Oui je regarde mon nombril.

Plus qu’un arrêt, tenez bon, on reste ensemble jusqu’au bout…

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